Êtes-vous un(e) late bloomer ?

Vous avez une minute :

Celle qui nous inspire : Catherine Taret, une plume bouillonnante de talents, n’en pouvait plus d’attendre la réalisation -perso ou pro-, qui lui ferait sentir qu’elle s’accomplit. Jusqu’à ce qu’elle réalise qu’elle est, en fait, une « Late Bloomer ». Littéralement « à floraison tardive », le late bloomer est une personnalité qui révèle tout son potentiel à la maturité. Vous vous reconnaissez ?

Ce qu'on en tire : Un nouveau concept déculpabilisant à méditer. Là où la culture française fronce le sourcil - « en retard ! », les anglo-saxons ont tout compris : ils reconnaissent et valorisent ces profils qui réalisent leur destin, innovent, explosent de créativité à leur heure. Presque mieux que les autres car ils profitent de leur expérience.
Et ils ont raison : de Vivienne Westwood au Nobel de littérature Toni Morisson, le monde regorge de talents épanouis après trente, quarante, cinquante ou soixante ans – et on ne vous parle pas du Maître de l’estampe Hokusai : « Tout ce que j’ai produit avant l’âge de soixante dix ans, disait-il, ne vaut pas la peine d’être compté. »