Se botter le cul avec Jacques Brel
Vous avez une minute :
Celui qui nous inspire : Cannes, 1973. Le grand Jacques, sa gueule inimitable, une fièvre sur scène à arracher sa chemise, Brel donc, a décidé de plaquer la chanson pour le cinéma. Au sommet d’une gloire éclatante, conquise au prix d’années de galère noire et de cabarets miteux…. « Pourquoi !? », lui demande Jacques Chancel qui l’interviewe à cette occasion. « Vous n’avez plus envie ? » Oh, si. Mais de façon vitale, Brel sait qu’il faut fuir le confort.
Le podcast de cet entretien est notre arme secrète : on vous a choisi les meilleurs extraits, mais en cas de découragement, le plus efficace c'est de l'écouter en entier.
Ce qu’on en tire : La rage de Brel, c’est de faire les choses. C’est le MOUVEMENT, encore et toujours. L’argent ? Un piège : « L'argent fige, et un homme c’est fait pour être mobile ». La beauté ? Pareil : « Quand on est beau, on se regarde soi et on ne bouge plus ». Un métier ? « Ce n’est pas une question de métier, vivre ! ». Vivre, c’est essayer sans arrêt, quitte à se planter : « il y a 2 manières de réagir devant ce qu’on ne sait pas : dire que c’est idiot ou aller voir. Je préfère aller voir »... et toujours courir après ses rêves d’enfant.
Vous avez plus d’une minute ?
Affichez les 10 citations de Jacques Brel pour « se botter le cul » et écoutez le podcast de l’interview intégrale de Jacques Brel par Jacques Chancel, le 21 mai 1973 : inoubliable et indispensable pour oser le mouvement.